Le choix d’un installateur de panneaux photovoltaïques doit se baser sur la présentation de labels et de certifications.
Les labels et les certifications nécessaires
Un installateur de panneaux photovoltaïques doit faire partie de ceux qui disposent du label RGE. Il s’agit de la certification RGE QualiPV. L’existence du label RGE est requise pour l’obtention des aides de l’Etat concernant les installations solaires. Néanmoins, ce type de label n’assure pas la qualité de l’installation photovoltaïque.
Les autres éléments à vérifier
Pour le choix d’un installateur de panneaux photovoltaïques sérieux, plusieurs vérifications sont préférables. Il faut penser à contrôler le numéro Kbis, les assurances décennales, la responsabilité civile.
Par ailleurs, il vaut mieux opter pour une maison qui dispose de plusieurs années dans le métier. Hormis la consultation du chiffre d’affaires, il convient de rendre visite aux installations réalisées par l’entreprise. Pour mieux évaluer le professionnel, il est recommandé de consulter les avis des consommateurs. Cela peut concerner le déroulement du chantier, le côté conseil, une bonne connaissance des aspects techniques et administratifs. Enfin, un installateur de panneaux photovoltaïques doit être formé aux produits de dernière génération.
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Les questions essentielles avant l’installation
Il faut vérifier si on dispose de toutes les autorisations pour l’installation de panneaux photovoltaïques. Il faut contrôler la compatibilité de la toiture. Il faut définir s’il s’agit d’une autoconsommation exclusive ou partielle. Si elle est partielle, elle admet la revente d’énergie à un fournisseur d’électricité. Le bon installateur doit être un professionnel sis proche de votre domicile. Cela permet de garantir les besoins en maintenance, en ajustement et en entretien des panneaux photovoltaïques. Par ailleurs, le gain de temps est appréciable en matière de frais de déplacement. Enfin, la certification QualiPV garantit la maîtrise du schéma électrique d’une installation solaire. N’oubliez pas que les entreprises qui ne disposent pas de certifications privent leurs clients des primes à l’autoconsommation.